| Sujet: (F.) Holland Roden. → Discussions intoxicating. Ven 13 Jan - 20:36 | |
| Reagan Nom au choix.Soit I'm a M.L addict, soit I don't give a sh*t. Reagan est âgée entre vingt-et-un et vingt-trois ans puisqu'elle est née le au choix, elle est donc au choix. Actuellement, elle est célibataire, ce qui n'empiète pas sur son métier d'écrivain. Pour elle, il n'y a pas besoin de réfléchir, le MacLaren's est son bar favori. (Ou elle n'a pas de bar favori, à vous de voir.) Les personnes qu'elle a rencontré là-bas la qualifie de douce, fragile, artiste, enfantine et charismatique. Oh, et il arrive souvent qu'on lui demande des autographes car elle ressemble comme deux gouttes d'eau à Holland Roden (négociable).Son histoire.L'histoire de Reagan est totalement libre. Appropriez-vous le personnage, il faut que vous soyez à l'aise dedans. Malgré tout, si vous n'avez aucune piste, je me ferais une joie de vous aider. Mais je ne tiens pas à vous bloquer votre imagination, qui je suis sûre, est plus débordante que la mienne (quoique).
Dernière édition par Tristen A. Eastwood le Dim 15 Jan - 14:54, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: (F.) Holland Roden. → Discussions intoxicating. Ven 13 Jan - 20:36 | |
| You are the only exception.Description du lien. (3rd january, New York.) « Un café, s'il vous plaît, » demandai-je au serveur qui me faisait face. Installé à la table du pub MacLaren's, je regardais les clients défiler, le regard dans le vide. Je m'ennuyais. Mes collègues n'avaient pas pu se libérer, notre patron devenait de plus en plus oppressant. J'étais le seul à me rebeller, à oser sortir de ses griffes, au risque de perdre mon emploi. Mais je savais qu'il ne me licencierait pas. J'étais un des meilleurs éléments à l'hôtel. Ça avait beau être prétentieux, il n'empêche que c'était la vérité. Ainsi, je me retrouvais seul, à boire par petites gorgées le café que l'employé venait de me servir. Du moins, je n'étais seul que matériellement. Intérieurement, il y avait quelqu'un. Oui, une personne m'obsédait les pensées depuis une vingtaine de minutes. Elle avait une chevelure brune, une chevelure soyeuse. Ses yeux reflétaient sa douceur, sa placidité. Ses mains s'agitaient sur un calepin, des mains fragiles, des mains de dames. C'était une vraie. Alors lentement, je me levai de ma place, bien que confortable, et je m'approchai, jusqu'à ce qu'elle détecte mon ombre. Son regard se posa sur moi. Troublé par la vivacité de ce dernier, je détournai le mien. « Puis-je? » l'interrogeai-je en soulevant la chaise devant elle. Je me retrouvais comme un imbécile, à ne savoir que dire, à trouver, pour lui parler, le prétexte de prendre une chaise pour installer un ami. Seulement, son rire cristallin me rappela à l'ordre. Elle m'avait observé. Elle avait su que je n'avais aucun camarade. « Pour étaler vos jambes, peut-être? Prenez donc, » me dit-elle d'une voix enfantine. Son approbation ne me fit pas reculer. Au lieu de quoi, je m'assis. Je m'invitai à sa table. Surprise, quoiqu'un peu décontenancée, elle chercha ses mots. Je la coupai dans ses réflexions, en lançant un sujet de conversation. « Vous écrivez? » Ses joues se rosirent, elle cacha son carnet. Je la mis en confiance, me présentai. Par mon nom de famile, un vieux réflexe. Tout le monde m'appelait par mon patronyme. Même s'il n'était ni original, ni joli. Eastwood, un grand classique. Elle me sourit et nous nous dévisageâmes longuement. Elle brisa finalement le silence. « En effet. Reagan, enchantée, » me répondit-elle en me tendant une poignée de mains, que je m'empressai de saisir, sentant une vague de chaleur m'envahir alors. Attisé par la curiosité, presque l'indiscrétion, je continuai. « Et vous écrivez quoi, Reagan? » La jeune femme ressortit ses notes de sous sa veste, me les donna. J'y posai les yeux quelques secondes, les relevant dans la foulée. « La Rancoeur. C'est un titre intéressant. De quoi parle ce..? » Je n'eus pas le temps de finir de poser ma question, que mon téléphone vibra dans ma poche. « Excusez-moi, je suis désolé, excusez-moi, » bégayai-je avant de décrocher. J'achevai rapidement la conversation. C'était mon patron. Je devais y retourner, un client espagnol attendait au comptoir et aucun de mes collègues n'arrivait à le comprendre. Confus, je fis mes au revoir à la charmante demoiselle, tout en espérant la revoir prochainement. « Si vous voulez parler de votre livre un jour, rendez-vous à cet endroit, » lui mumurai-je à l'oreille lorsque l'on se fit la bise, en glissant la carte de l'hôtel dans sa poche de manteau. Je laissai un billet rose sur la table que j'avais déserté, avant de tourner les talons. |
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▲ Messages : 14
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: (F.) Holland Roden. → Discussions intoxicating. Ven 13 Jan - 22:54 | |
| Et ouiiiii je suis déjà là, j'ai complètement flashé sur ton scénario J'espère que tu veux bien de moi! :D Dis-moi si le nom te convient, je le modifie sinon. Peux-tu me réserver la jolie demoiselle ? Je pense faire ma fiche dans le week-end ^^ |
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| Sujet: Re: (F.) Holland Roden. → Discussions intoxicating. Sam 14 Jan - 9:44 | |
| C'est ma surprise matinale. Tout est parfait, je sens qu'on va gérer. Je te la réserve dans la foulée, et merci d'avoir pris mon scénario. (: |
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| Sujet: Re: (F.) Holland Roden. → Discussions intoxicating. Dim 15 Jan - 14:54 | |
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| Sujet: Re: (F.) Holland Roden. → Discussions intoxicating. | |
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