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| IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. | |
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▲ Messages : 25
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:07 | |
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dexter jonathan rosenbach Between the lines of fear and blame and you begin to wonder why you came
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▷ âgé(e) de: vingt-cinq ans. ▷ né à: New York, USA. ▷ nationalité: américain. ▷ animal fétiche: aucun. ▷ groupe: i don't give a shit. ▷ statut: en instance de divorce. ▷ travail: résident en cardiologie. ▷ avatar: Armie Hammer. |
de l'autre côté du mirroir Alors, je me prénomme Marine, plus connu sous le nom de Swingstab, je suis âgée de 17 années. J'ai choisi Armie Hammer car mais regardez-le ? Quand je le vois, j'oublie la raison. Enfin bon, sinon j'ai connu le forum Hey Smelly Cat grâce à bazzart et j'en suis heureuse car je pense que ce forum est me gusta, d'ailleurs, je pense être présente sur le forum 5/7J ce qui est plutôt bien, non ? Puis avant de partir, j'ai un petit mot : papa sexy cherchant nounou parfaite. | |
Dernière édition par Dexter Rosenbach le Sam 14 Jan - 4:03, édité 3 fois |
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▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:08 | |
| like you imagined when you were young
J'entre dans le central perk avec Alexis et on s'installe à sa table préférée. C'est son café préféré, alors forcément, je l'emmène là. Ça fait quelques mois qu'on sort ensemble et c'est foutrement bien. Je pensais que sortir avec quelqu'un qu'on connait depuis si longtemps serait bizarre, mais pas du tout. La grande blonde Fawkes est tout ce dont j'ai besoin en ce moment et je ne cherche pas plus. J'ai besoin d'elle dans ma vie et pour quelqu'un d'indépendant comme moi, c'est une foutu claque en plein visage -du genre agréable, d'une certaine façon. On commande nos trucs, mais rapidement je comprends que Donovan O'Leary n'arrive pas à quitter des yeux ma copine. Je vais écraser mon poing dans la tronche de cet enfoiré et c'est excellent comme ça. Je serre les mains et Alexis le capte immédiatement. Elle s'interroge du regard, c'est assez apparent. Venant d'une bonne famille, j'ai toujours appris à contrôler mes émotions, du moins ne pas les rendre apparentes, mais parfois ma jalousie prennait le dessus sans que je puisse y changer quelque chose. « Donovan arrête pas de te regarder, il m'énerve. » et s'il arrête pas dans les dix prochaines secondes, je lui éclate la tête par terre et lui crève les yeux avec mes deux mains. Il va souffrir et c'est tant mieux. J'aime pas partager ce qui me rend heureux et encore moins dans le cas d'Alexis Fawkes. Elle pose sa main sur mon bras et me fait un sourire rassurant. Elle y arrive toujours et c'est ce qui est foutrement bien avec elle. « J'en ai rien à faire parce que ... » Je ne la laisse pas terminer sa phrase, je préfère la complété avec mes propres mots. Je porte une bière à ma bouche -même si j'ai pas vingt et un ans, j'en ai foutrement l'air avec ma grandeur. Personne ose me demander. « j'suis plus canon ? » Elle roule des yeux, mais je peux dire qu'elle essaie de masquer son sourire. Elle est foutrement sexy et elle veut pas avouer qu'elle et moi ensemble on est extrêmement parfaits. « aussi, mais c'est parce que je t'aime, idiot. » Mes croisent instinctivement les siens et j'oublie déjà Donovan et tout les gens qui nous entourent. Mes parents avaient toujours parlé avec grand estime de la famille Fawkes, mais je ne pensais pas partager ma vie avec leur fille. Maintenant, je ne peux pas imaginer ma vie sans. Elle se lève et se rapproche de moi. Je la vois bouger légèrement sa tête dans la direction de O'Leary et me rejoint sur la chaise, carrément assise à califourchon sur moi. « ah oui ? » que je murmure doucement à proximité de ses lèvres que j'effleure doucement. Elle passe ses mains dans mes cheveux, sachant déjà qu'elle fait exprès pour virer l'autre con complètement vert de jalousie, déposant un baiser sur mes lèvres, devenant de plus en plus langoureux. « hm hm. » que je l'entends confirmer entre deux baisers. Je me sens foutrement bien, mais évidemment, c'est pas l'endroit pour ce genre de chose et on a dû arrêter au moment où le propriétaire s'est avancé. i'd rather be anywhere but here without you
Je sais pas si c'était une bonne idée d'avoir commencé mes études en médecine, parce que franchement, j'ai jamais été le plus studieux. J'ai de l'argent et j'ai de la motivation. Mais j'ai aussi une vie, une femme et une famille. J'ai peut-être vingt et un ans, marié, mais c'est pas un problème. On étudie dans la même université -Harvard- et je suis pas du genre a aller voir autre part. J'aime Alexis et ça depuis bientôt quatre années. Je rentre à notre appartement et je laisse mon manteau dans l'entrée. Je ne sais pas où est la nouvellement madame Rosenbach, mais j'ai qu'une envie, c'est de la voir. Je vais pour prendre une douche, mais en jetant le vieux savon, je vois un truc. Un truc avec des lignes bleues. Un truc avec une boite écrit test de grossesse. Je me sens anesthésié. Avais-je été si pris par mon boulot d'interne en médecine que je n'avais rien remarqué ? Avait-elle peur de me l'annoncer ? Je le prend doucement et me retourne, pour voir la grande blonde que je peux appeler ma femme se tenir dans la porte. « c'est quoi ça, Lexie ? » que je demande lentement, appréhendant la réponse. Je ne savais pas ce que j'en pensais, ce que je pouvais en penser avant de savoir si c'était vrai et comment elle se sentait. Alexis était et est la femme la plus importante de ma vie et je veux pas qu'elle se sente laissée. Je veux pas qu'elle ait cette impression, alors que c'est faux. « J'suis enceinte, Dex. » Elle me le dit directement. Je sais pas quoi faire de cette information. Je me bouge vers la chambre et m'assois sur le lit. Elle vient à mes côtés et pose sa main sur la mienne. Je la prend automatiquement, parce que j'aime ma femme plus que tout et que peu importe ce que je pense ... et puis qu'est ce qui dit qu'elle est vraiment enceinte ? Un test, ça fait pas vraiment fiable ... « t'es certaine, parce que c'est juste ... » Je la regarde dans les yeux, mais elle m'interrompt dans ma phrase. Déjouant toute illusion que je pouvais avoir. « le septième test de grossesse positif ? Je sais. » Le septième ? Vraiment ? Je me permet un sourire, parce que je la reconnais bien. Elle pouvait pas en faire un et aller chez le médecin. Elle a préféré en faire sept. Une des différentes raisons pour lesquelles je suis fou d'elle. Elle est différente des autres et je voudrais pas qu'elle change pour rien au monde. La vérité me submerge tranquillement. On est jeunes, mais on est responsables. Il y a Teresa qui peut nous aider, je le sais. Je peux couper dans les heures et la même chose pour Alexis jusqu'à ce qu'elle doive rester en congé de maternité. L'idée me plait de plus en plus, mais je sais pas ce que elle en pense et je peux rien faire contre sa volonté. C'est son corps après tout. « On va être parents ... » J'inspire profondément et jette un coup d'oeil à madame Rosenbach. Je l'oblige à me regarder en posant une main sous son menton. Ses yeux clairs croisent les miens et je lui demande doucement comment elle se sent. Après tout, elle a vingt ans, c'est peut-être pas ce qu'elle veut faire à cet âge. « Je trouve qu'on est vraiment jeune, que j'ignore si j'ai déjà voulu être mère, mais que je peux pas m'imaginer ne pas en être une, maintenant que je suis enceinte. » Je comprend ce qu'elle me dit et je respecte son choix. Je suis heureux de son choix. Je ne souhaitais pas un avortement, un adoption. Je veux garder cet enfant avec nous, parce que je sais que je vais l'aimer plus que ma propre vie. Je suis chiant, hautain, possessif, impatient, mais quand j'aime, c'est de tout mon coeur. Je peux donner à cet enfant ce qu'il mérite et a besoin. « t'es content ? » Elle semble craintive, que je ne veuille pas de cet être qui grandit en elle, j'imagine. J'affiche un sourire et mes lèvres rencontres les siennes avant que je ne glisse doucement. « Je vais avoir un enfant avec la femme la plus importante et magnifique pour moi. Je peux pas être plus heureux. » we can burn brighter than the sun
Je tiens ma fille dans mes bras. Juliet Rosenbach. Elle est tellement minuscule dans mes bras, que j'ai l'impression qu'un faux mouvement pourrait la blesser. C'est bien la dernière chose que je souhaite. Faire du mal à ce petit être que je peux considérer mien. Elle est endormie, tout comme ma femme, depuis près d'une heure. Je les observe, paisiblement. La visite est partie, mes parents, ses parents, ma petite soeur. Je vois que doucement, la mère de notre petite fille se réveille, laisse le pays des rêves de côtés. Elle me sourit faiblement et je me lève, le nourrisson toujours dans mes bras et je me pose à ses côtés, touchant doucement sa joue du bout des doigts, tenant toujours fermement bébé dans mes bras. « Elle est magnifique, Lexie. » que je murmure afin de ne pas réveiller Juliet, qui je sais se transformera en monstre si on la réveille. Elle a déjà des cordes vocales puissantes. Je me penche doucement vers elle et pose un léger baiser sur ses lèvres. Je tend les bras vers Alexis afin de lui confier notre fille. Elle la prend dans ses bras et alors qu'elle est concentrée sur la petite, je suis concentré par les deux femmes qui comptent le plus pour moi. « t'es magnifique aussi. » que j'ajoute, alors qu'elle pose un oeil incrédule sur moi et émet un bref rire. « arrête tes conneries, Dex. J'suis exténuée. » Je rigole un peu, mais je dépose de nouveau mes lèvres sur les siennes, alors qu'elle prolonge le baiser, notre enfant reposant entre moi et elle. Je suis foutrement heureux. Je continue à l'embrasser et je souffle doucement contre ses lèvres. « une maman sexy exténuée, dans ce cas. » Les mots que je prononce la font sourire et on continue à s'embrasser, taquiner les lèvres de l'autre. Un raclement de gorge me fait arrêter et je tourne doucement la tête vers l'intruse, qui n'était nulle autre qu'une infirmière. « vous devez la laisser se reposer. » Elle se rapproche de nous, je ne sais pas encore si elle parle d'Alexis ou de Juliet. Elle lève les bras, demandant la petite dernière Rosenbach et je comprends qu'elle doit la remettre dans son petit lit. Je dépose un baiser sur sa petite tête et Lexie en fait de même. On la lui confit et elle attends probablement pour que je la suive. Je dois laisser ma femme prendre du repos, apparemment. « un moment. » mon ton de voix ne laisse pas la discussion et la femme se casse, même avec un regard d'avertissement sur le visage. Je passe encore un moment avec Alexis, l'embrasse pendant de longues minutes. Ce n'est jamais assez et pourtant, un second raclement de gorge me dis que mon sursis est expiré. « maintenant, monsieur Rosenbach. » Je fais un clin d'oeil à ma femme et je sors de sa chambre d'hôpital. Je passe par la pouponnière, dis au revoir à ma fille. Je dois retourner à la maison, puis revenir ici. Pour y travailler et pour passer du temps avec les femmes de ma vie. it's really over but it feels like the beginning
« Alors ta soirée avec Donovan, c'était bien ? » que je dis dès que ma femme entre dans la suite qu'on a depuis la graduation de l'université. C'est dans l'Upper East Side et c'est foutrement grand. Probablement trop pour deux personnes et demi, mais largement peu devant nos salaires cumulatifs. Je suis énervé, parce que j'ai essayé de faire un effort. Je voulais passer du temps avec Alexis et avec Juliet. La première n'est pas arrivée. J'ai passée la soirée avec ma fille et même si je n'échangerais pas cela, ma femme me manquait. Elle était au boulot avec ce connard de Donovan O'Leary. Alexis soupire, sûrement épuisée de sa baise avec ce connard. « on travaille ensemble, Dexter. » ouais sûrement. Elle a le droit d'être jalouse d'une interne insignifiante et pas moi de Donovan qui veut se la faire depuis le début de notre relation ? Bah voyons. Je m'approche d'elle et plante mon regard de le siens. Elle est agacée par mon comportement je peux le voir tout de suite. « Je rentre tôt pour une fois, vu que ça t'énerve que je bosse tout le temps et là, c'est toi qui me stood up pour ce mec ? » J'ai piqué une corde sensible. Elle me gifle et je la regarde légèrement surpris. Notre relation n'est plus ce qu'elle était. Juliet dort depuis des heures et je l'attends foutrement inquiet. Elle voulait que je réagisse bien ? Right. Je pensais pas qu'on en viendrait à ce point. Ne plus être capable d'apprécier la présence de l'autre. J'ai toujours cru qu'on étaient fait pour être ensemble. J'avais tord. « tu rentres tard à tout les putains de soir, Dex. C'est un miracle que pour une fois ce soit inversé. » Je veux répondre quelque chose, mais les dernières paroles que j'avais prononcées étaient foutrement forte et une petite tête blonde arrive dans la pièce, trainant son doudou et son ourson en peluche. « Papa ? » qu'elle me demande, inquiète. J'ai plus envi de parler avec sa mère. Surtout pas devant notre fille qui n'a pas à être témoin de cette scène. Lexie va pour aller chercher la petite, mais je la prend dans mes bras en premier, jetant un regard à Alexis. « viens beauté, je vais aller te raconter une dernière histoire. » i know you don't think that i am trying
Putain, je dois aller travailler, mais je dois aussi aller reconduire Juliet à l'école. La maternelle c'est vachement important pour elle et je suis foutrement heureux de voir qu'elle aime l'école. Oh, ça va sûrement changer, vu sa passion pour les princesses, les princes charmants et le petites peluches. Elle est un peu la reine de sa classe et c'est réellement mignon. Je sors de ma voiture et j'ouvre la porte arrière, défaisant le banc dans lequel ma fille est assise. Elle n'est pas souvent avec moi dans mon nouvel appartement, parce que je suis foutrement occupé et que contrairement à sa mère, je n'ai pas d'horaire fixe. Depuis notre demande de divorce, les choses sont compliquées. Je la descend de son banc et je lui fais faire l'avion dans les airs. Je suis très grand, alors heureusement, elle n'a pas le vertige. Je la dépose et prend sa main. Alors qu'on marche, moi, elle et son ourson, elle me regarde intensivement et se décide enfin à dire ce qu'elle a sur le coeur. « maman, elle est jolie. » Je souris. Je sais déjà où cette conversation va nous mener. J'ouvre la porte de l'école et mes pensées vont directement à Alexis. Elle a toujours été belle. Ce que Juliet ne sait pas, c'est comment elle lui ressemble. Les cheveux blonds soyeux, la forme du visage qui rappelle celui de mon ex-femme. Ses yeux sont de la même couleur que les miens, mais elle ressemble principalement à sa mère. « maman est magnifique. » que je la corrige gentiment. On arrive à son vestiaire et je vois des dessins qu'elle a fait hier. Je les ramasses et vois qu'elle a démontré notre famille -encore ensemble et unie. Elle est tellement intelligente, qu'elle a même écrit nos noms. Quelques lettres à l'envers, mais c'est mignon. « pourquoi tu l'aime pas, alors si elle est belle ? » qu'elle me demande directement. Elle est tellement franche. Elle me regarde avec cet air innocent, alors que je la défais de son manteau. Je soupire, accroche son manteau et descend à sa hauteur. « bébé, c'est compliqué » Elle en a marre d'entendre cette excuse, je le sais. Ce n'est pas que je n'aime plus sa mère. Je l'aimerais toujours. Tout est trop compliqué, même pour moi. On s'obstine sur qui aura le chalet, qui aura la télévision plasma, c'est insensé. Comme si on étaient devenus des pires ennemis. Je ne sais pas pour elle, mais pour moi, rien ne sera terminé. Je ne peux simplement pas retourner en arrière maintenant qu'on est aussi loin dans les procédures. Juliet s'approche doucement et passe ses bras autour de mon cou. Je fais semblant de l'étouffer tellement je la serre et elle rigole de ce rire de gamine. Le même que sa mère -à la différence que cette dernière a vingt-quatre ans. Son rire était contagieux et adorable, ça me manque foutrement, même si je l'avouerai jamais. « tu me manques, papa. » La professeur s'approche et je plante un baiser sur le front de ma fille. Je tiens son visage dans mes mains et elle me fait un sourire. Le temps n'est rien en sa compagnie, putain comment je peux l'aimer. Elle me manque aussi, tout les jours où elle est loin de moi, tout comme sa mère. « ça va aller mieux bientôt, princesse. Je te le promets. Je t'aime. » Je sais pas comment, par le divorce ou non, mais je sais que rien peut aller pire, donc c'est forcément du positif à venir.
Dernière édition par Dexter Rosenbach le Sam 14 Jan - 4:45, édité 15 fois |
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▲ Messages : 347
▲ arrivée le : 30/12/2011
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:09 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche je vais de ce pas te réserver le monsieur que je ne connais pas |
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▲ Messages : 25
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:11 | |
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▲ Messages : 136
▲ arrivée le : 22/12/2011
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:11 | |
| ARMIE ! Moi je pense à the Social Network avec les jumeaux là Bienvenue parmi nous, et le trop bon choix de vava ! EDIT - Grillée pour les jumeaux (a)
Dernière édition par Pacey-Rain Bridges le Ven 13 Jan - 20:12, édité 1 fois |
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▲ Messages : 347
▲ arrivée le : 30/12/2011
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:11 | |
| J'ai pas vu Social Network merci |
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▲ Messages : 136
▲ arrivée le : 22/12/2011
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:12 | |
| HAN, moi je l'ai vu avec mon presque ex-copain, enfin une longue histoire (a) |
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▲ Messages : 443
▲ arrivée le : 22/12/2011
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:12 | |
| Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche (: en cas de questions n'hésite pas |
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▲ Messages : 372
▲ arrivée le : 21/12/2011
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:14 | |
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▲ Messages : 25
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:15 | |
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▲ Messages : 136
▲ arrivée le : 22/12/2011
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 20:17 | |
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| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 21:00 | |
| Moi non plus je n'ai pas vu ce film et d'ailleurs je projette de la voir dans pas longtemps. Il a l'air pas mal. Bienvenue à toi. |
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▲ Messages : 206
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 21:03 | |
| OUELCOME ! Bonne chance pour ta fiche |
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▲ Messages : 64
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 21:08 | |
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▲ Messages : 25
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 21:10 | |
| Leïa, tu dois le voir, il est excellent, merci ! merci, Zelda ma femme QUE J'AIME ET BAISE, non mais tu rêves. L'écran plasma est à moi. Je te donne les tapis si tu veux |
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▲ Messages : 64
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Ven 13 Jan - 21:12 | |
| Les tapis ou tu m'a fais l'amour dessus ? Fine je prends. et j'te bayse aussi. |
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▲ Messages : 194
▲ arrivée le : 21/12/2011
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▲ Messages : 443
▲ arrivée le : 22/12/2011
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Sam 14 Jan - 4:52 | |
| Je te Teddylide, bon jeu parmi nous (: |
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▲ Messages : 25
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. Sam 14 Jan - 4:52 | |
| BILSON merci beaucoup et à toi aussi Teddylicious =D |
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| Sujet: Re: IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. | |
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| | | | IT'S NOT OVER UNLESS YOU LET IT TAKE YOU. | |
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