Papa , déstresse je connais la route pour rentres , j'ai ton numéros en cas d'urgence et j'ai une carte bleu , une carte vitale.  je ramasser ma valise pour la mettre dans le coffre de ma voiture , alors que mon père serre une vielle couverture à moi qu'il n'avais jamais oser donner a qui que ce soit. Nous étions riche , je plussoie mais certain objet valait beaucoup plus que d'autre , pas pour le prix mais pour la valeur sentimental. Cette couverture qu'il tenez entre ses doigt , la boîte a bijoux de ma mère et la fauteuil ou était assise ma grand mère avant de mourir sont les objet les plus chère au cœur de mon père. Ils ne les aurais vendue pour rien au monde , même si d'un jour ou l'autre la famine lui tomber dessus et qu'il serais obliger de vivre sous les pont , il serais assis sur le fauteuil de grand mère , la boîte à bijoux de ma mère entre les doigt et pour réchauffer cette couverture qui ne recouvrais même plus une de mes jambes. Mon père était un homme merveilleux , bien sur il ne l'as pas toujours étais , je me rappelle a mes quatorze ans quand il n'as pas voulue m'acheter un cheval et que j'avais tellement hurlait que ma voix c'était éteinte pendant plus d'une semaine. Il travail beaucoup mais comparer au autre papa il a toujours était la pour moi , que ce soit pour les répétions de danse , les spectacles , les kermesse et même dans les moments sombre de ma vie , les séances de ré-éducation. Il était là. Aujourd'hui est une date spéciale. J'allais , avoir mon indépendance. Dans un petit appartement en centre ville ou maman vivait avant de connaître papa et qu'elle m'as léguer légalement dans son testament , quand bien sur j'aurais la majorité. Au début mon père n'était guère emballer a cette histoire , vivre seule , dans le centre ville sans connaître personne. C'était le genre de chose qu'il n'aimais pas. Mais vous savez à moi il ne peut rien me refuser , un petit calin , un sourire la Azo et le tours et dans le sac. Il allait me manquer , les domestiques et la bonne bouffe aller me manquer mais aujourd'hui je suis une femme et les femmes ne vivent pas éternellement chez leurs parents. Une fois mes valises dans ma voiture , je lui sauter dans les bras. Tu vas me manquer.  me murmurais t-il doucement. Toi aussi.. Tu sais papa , je serais ce que je suis aujourd'hui sans toi.  un sourire se dessiner sur mon visage alors que mes yeux parcourue rapidement cette vie magnifique que j'ai pue avoir. Je n'ai jamais manquer de rien , fifille a papa j'ai toujours étais la première servie ,fait tout ce qui m'avais plus , êtres épauler et aidait. Il me souriras a son tours et je me poser dans ma voiture.  Azo ! me dit-il avant que je démarre ma voiture. Ta mère est fière de toi , et moi aussi ! 

Je m'était lever tôt ce matin , vers les cinq heures du matin pour changer. Je suis une grande flemmarde mais bizarrement j'avais envie de me lever tôt aujourd'hui. Il était donc vers les cinq heure du matin , quand j’eus une envie soudaine de me lever. Les cheveux en bataille et mon pyjama snoopy sur moi , glander me paraisse du temps perdue un samedi matin. Je n'avais rien a manger à part une boites de céréale lion , avec un peu de lait et un mixte de reste de spéciale K chocolat et pépite de noix de coco. Ma mémoire est sélective comme dans les boîtes de nuit alors quand je fais mes courses , j'ai toujours peur d'oublier quelque chose donc j’attends de finir tout ce que j'ai chez moi avant d'en racheter , comme ça au moins je suis sure de tout acheter. Je me préparer donc pour faire les choses et lorsque je sortit dans le couloir , ma voisine m'avais interpeller comme si elle me connaissait depuis toujours. Ses yeux brun et profond , était river sur moi comme si j’étais une revenante , les yeux écarquiller elle hurlai de l'autre coter de son seuil.  Olivia C'est toi ? je m'avancer doucement , retirant la clés de sa bouche et mon sac à la main. Olivia , ma mère était décédé dans un accident de voiture il y a des année de cela. Dans sa jeunesse avant de rencontré mon père , elle vivant dans cette appartement qu'elle m'avais léguer à sa mort. A mes dix huit ans je n'avais pas encore le droit d'y habiter. Tout ce que j'avais le droit de faire , c'était la fête à petite dose et acheter des chaussures par millier , tellement que j'aurais pue ouvrir ma propre boutique. Mon père n'as jamais eu confiance en moi , à mes quinze ans j'avais peur du feu et sans faire exprès j'avais brûler la moitie de la maison. Pourtant c'était le lutin qui m'as dit que le feu c'était amusant , mais a vrais dire ce n'était pas si marrant que ça ! Je n'avais plus de sourcil pendant plus d'un mois et je peut vous dire que pour les épiler après c'est pas évident. Je me rapprocher d'elle et de son affreuse odeur de cigarette à la menthe qui empester dans toute sa zone , d'un coup je fut rassurer que nos appartement soit si éloigner. Olivia , c'est toi ?  répéta t-elle , les yeux river sur moi. Elle m'observa de haut en bas alors que je continuer de sourire. Sourire , se mot était bien complexe , j'avais beau sourire toute ma vie qui sait vraiment ce que je ressent au fond ? A ma connaissance , il n'y avait que deux personne qui pouvait se venter de me contraire vraiment. A mes quinze ans , j'ai du faire une réinstallation de mes programmes , le terme ré-éducation ne me plaît pas trop , on entre tout de suite dans une spirale de maladie mentale et de problème psychologique alors que si je dit une réinstallation de mes programmes les gens pense que je me croit dans futurama. C'est mieux de se faire passer pour une débile , que pour une fille mal dans sa peau ! C'est un fait , scientifiquement prouver par moi. Non..  répondis-je enfin après un long suspense d'environs cinq minute.  Je suis Arizona , sa fille. Vous connaissiez ma mère ?  un léger soupire ce fit entendre de la femme , avant qu'elle rentre avec son chien dans les bras. Ses pantoufles , frotter sur le sol comme ci cela était trop compliquer de lever la jambe. Une fume s'échapper de sa porte lorsqu'elle s'ouvrit et elle me lança un. Vous lui ressemblez beaucoup. Bienvenue dans l'immeuble Arizona.  avant de me claquer la porte au nez. Je reculer , et m'arrêter devant le miroir dans l'entrer , observant mon reflet dans la glace. Le dernier souvenir net et précis que j'avais , était celui de ma mère recouvrant mon corps de ses bras. Elle avait détacher sa ceinture et c'est jette sur moi avant que l'autre voiture ne nous percute , la scène était si rapide qu'une fois les yeux ouvert j'étais sur un brancard , le sang de ma mère plein les vêtements et une impression qu'on m'avais arracher un bras. Est ce que je pourrais vous dire ce que j'ai manger hier soir ? Non. Mais je peux vous dire qu'a ce moment précis là , ses yeux était couleur bleu marine , ses cheveux s'élancer dans le vent et l'expression de son visage était remplis de peur et d'angoisse. Je peux aussi affirmer que la voiture qui nous avait foncer dessus était bleu et que mon dos est recouvert de trace de la vitre de celle-ci. J'ai vécue dans ce trouble toute ma vie , j'avais les yeux d'une fille de quinze ans , son esprit et sa mémoire.

J'aime particulièrement ma vie. Tout simplement parce qu'elle est extraordinaire et que j'ai des amis en or qui la rende encore plus splendide. Vous savez, j'ai toujours vu la vie d'une certaine manière, en partant du fait qu'il faut toujours savoir s'amuser et profiter des bons moments et s'enrichir et se rendre plus forte grâce aux mauvais. C'est un principe de base. J'avoue aussi que j'ai fais des erreurs dans ma vie, mais je n'ai aucune honte à le dire. Après tout, les êtres humains font tous des erreurs et puis pour tout vous dire, j'assume totalement tout ce que j'ai pu faire ou dire depuis le début de mon existence. Et puis si personne n'est content, je m'en fiche, j'emmerde les gens qui me critiquent juste parce qu'ils croivent qu'assumer ses actes même les plus mauvais n'est pas une bonne chose. Moi, je pense que ça l'est. Enfin bref, sinon moi, je suis une fille pétillante, toujours contente et qui aide les gens dans n'importe quelle circonstance. Je ressens le besoin de me sentir aimer et de me montrer qu'on m'apprécie. Je m'attache très vite aux gens, c'qui peut être un atout comme un défaut, je le reconnais. J'ai toujours eu un franc parlé très fréquent. Je dis ce que je pense, que ce soit bien ou pas, la franchise compte avant tout. Je ne suis pas une hypocrite qui dis être votre amie et qui vous met des couteaux dans le dos juste après. Non, quand on est mon ami, on l'est pour de vrai. Et puis vous voyez, c'est grâce à toutes ces choses qu'aujourd'hui, du haut des mes vingt deux ans, je suis fière d'être celle que je suis devenue. Niveau travail , je suis tout a fait comblé , qui aurais dit que de dessiner des robes serais un métier ? Non mais franchement , pour moi laisser mon imagination sortir a travers des dessins, des croquis tout ça , lancer une nouvelle mode même si pour le moment ce n'est que des stades. Je sais qu'un jours je pourrais librement m'échapper dans une collection été/hivers et que même Julia Roberts porter mes création en citant « c'est made in Arizona Everdeen » et la moi dans mon manoir cinq étoiles , je ne ferais que des bulles dans mon coca ligth. Et en amour , oh oui en amour. On ne peut pas êtres plus comblé que moi ! Oui je suis célibataire , mais il y a quelque temps de cela , j'ai fait la rencontre d'Ethan un de ses étalons. Genre plus beau tu meurt. Nous somme devenue amis , puis ex friends oui comme dans le film et maintenant ba.. on est des sex friends toujours. Je ne pourrais expliquer notre situation parce que plus complexe tu meurt mais je peux affirmer sur ma corne de licorne qu'entre lui et moi ce n'est pas qu'un jeu.. Quand j'étais petite et au lycée , les gens me trouver , naïf et candide j'ai essayer d'arranger les choses et je peut dire fièrement qu'aujourd'hui je suis fière de celle que je suis devenue.