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| ⊱ When you're gone the pieces of my heart are missing you. | |
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▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: ⊱ When you're gone the pieces of my heart are missing you. Sam 14 Jan - 2:26 | |
| « Juliet grand-mère va venir te chercher bientôt ! » Que je dis à ma petite tête blonde alors qu’elle est en train de regarder son dessin animé favori pour la…dixième fois de la journée. A croire, qu’elle ne s’en lasse pas. Elle affiche une moue enfantine à laquelle personne ne pourrait vraiment résister. Elle pointe l’écran de télévision en me regardant. « Encore maman ! » Je la regarde en faisant mine de soupirer relançant encore une fois le film avant de partir dans la chambre de ma fille pour rassembler ses jouets et son pyjama. Elle va passer la nuit chez mes parents. J’ai énormément de dossiers en retard et je risque de pas pouvoir lui octroyer beaucoup de temps ce soir. C’est drôle de voir comment ma mère adore passer du temps avec elle alors que quand j’étais gosse, elle trouvait tout le temps le moyen de me refiler à Teresa pour continuer sa petite vie tranquille. Je ne suis pas jalouse, au contraire. Je suis contente que ma fille réussisse à trouver un équilibre familial parce que depuis qu’on a entamé la procédure de divorce avec Dexter, rien n’est simple pour elle comme pour nous. La sonnerie retentit et je me dirige vers l’entrée du loft découvrant ma mère, un sourire béat sur les lèvres. Je la laisse rentrer, alors qu’elle va embrasser Juliet avant de me rejoindre dans la cuisine. « Tu veux boire un thé ? » Que je lui demande alors qu’elle décline rapidement, ne pouvant s’empêcher de se pencher en arrière pour regarder ma fille. Je souris légèrement avant de me servir une tasse de café. « Tu as des nouvelles de Dexter ? » Qu’elle me demande directement alors que ce n’est pas vraiment le sujet que j’ai envie d’aborder. C’est toujours dur parce que même si la décision a été prise par lui et moi, une part de moi la regrette et ma fierté s’empêche de me faire revenir à la raison. « Il doit passer chercher le reste de ses affaires d’ici quelques jours ». Je la regarde, en baissant le regard avant de finalement chercher le sac de ma famille pour ne pas craquer devant ma mère. Ce n’est pas vraiment à elle que je me confie à ce sujet mais plus à Teresa. Je reviens dans la cuisine, déposant le petit sac sur le plan de travail immaculé. « Tiens, y a toutes ses affaires, son pyjama, son doudou, des jouets et le nécessaire de toilettes. Evites de lui préparer du chocolat chaud trop tard ça a tendance à l’empêcher de dormir » Que je lui dis machinalement, connaissant les habitudes et besoins de ma puce sur le bout de mes doigts. Ma mère sourit en prenant le sac vers elle. Elle reste silencieuse durant quelques temps avec de reprendre. « Tu sais, tu devrais sans doutes parler à Dexter. Tu l’aimes encore, c’est un fait et vous pourriez arranger les choses avec des efforts communs ». Je ne peux m’empêcher de réprimer un soupire de lassitude. Ma mère adore se mêler de mes affaires mais pourtant avant quand j’aurais eu besoin d’elle plus jeune, c’était trop lui demander. Je suis une adulte maintenant et c’est clairement seule que je vais affronter ma relation – chaotique avec Dexter. Je ne dis rien préférant ne pas me lancer sur ce sujet. Je vais me mettre à la hauteur de ma petite blonde, pour enfiler son manteau blanc, lui mettre son petit bonnet et la regarder, elle est magnifique et je ne peux pas m’empêcher de voir son père dans ses yeux. « Tu restes sages chez grand-mère chérie, promis ? » Elle sourit malicieusement en venant frotter son nez contre le mien. Je ne peux pas m’empêcher d’en faire autant. « Promis maman » Qu’elle ajoute en passant ses petits bras autour de mon cou. Je la serre contre moi avant de la donner à ma mère qui la prend dans ses bras en tournant les talons.
Je me mets à ranger les affaires qui traînent au sol, Juliet n’a pas pour habitude d’être très ordonnée encore. Je ramasse ses jouets avant de me diriger dans sa chambre. Je saisis une chaise présente dans la pièce pour chercher une boîte métallique sur le sommet d’une étagère. Je monte dessus, cherchant à tâtons à attraper cette maudite caisse et en une fraction de seconde mon corps chute au sol, emportant avec la boîte qui me tombe dessus. Je reste sonnée quelques instants, me retournant, le dos butant contre le parquet. Je ne me sens pas vraiment bien et une main se porte à mon visage. Je vois un filet de sang contre mon index et c’est un peu la panique qui s’empare de moi. Je me relève tant bien que mal, une douleur lancinante dans le crâne et à ma hanche droite. Je n’attends pas, prenant mon blouson et mes clés, sortant de l’appartement en boitant et en tenant un mouchoir pour comprimer ma petite plaie au niveau de ma joue. J’arrive dans la rue, faisant signe au premier taxi qui passe avant d’embarquer dedans, indiquant l’hôpital comme destination. La chance ne semble pas être de mon côté et j’espère vraiment ne pas croiser mon futur-ex mari parce que ce serait trop dur comme à chaque fois. Il me manque, vraiment. Parfois, je me demande pourquoi on a décidé de se quitter. On se faisait sans doute plus de mal que de bien, mais mes sentiments sont encore là. Je l’aime et je n’ai pas pu me résoudre à coucher ou à sortir avec un autre homme depuis lui. Quelques minutes passent et le taxi s’arrête devant les urgences. Je paye avant d’entrer dans le bâtiment, me présentant au comptoir principal. L’infirmière de garde me reconnait pour mes nombreuses venues ici. « Alexis, que vous est t-il arrivé ? » Qu’elle me demande en me prenant par le bras pour partir m’installer dans le premier box qu’elle trouve de libre. Elle m’aide à ôter mon manteau. « Rien, une petite chute, écoutez si on pouvait éviter d’appeler mon ex-mari… » Que je lui dis alors qu’elle sourit, comprenant je crois directement la situation. Elle finit par quitter le box partant apparemment chercher un médecin. Je soupire, attendant. Je regarde autour de moi et cet hôpital me rappelle inévitablement des souvenirs, comme par exemple quand je venais ici en douce le soir pour profiter de Dexter parce que je le voyais peu. Je passe une main dans ma nuque avant de détourner le regard vers l’entrée de la pièce, découvrant mon ex-mari qui s’arrête brusquement. Mon cœur se met à accélérer. « Je…J’attends un de tes collègues » Que je trouve seulement à dire en continuant de le regarder, mon mouchoir essuyant encore ma joue meutrie.
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| Sujet: Re: ⊱ When you're gone the pieces of my heart are missing you. Dim 15 Jan - 17:38 | |
| « docteur Rosenbach ? » Je relève la tête. Une infirmière me regarde, se demandant probablement pourquoi elle devait m'avertir de ce genre de truc. Le zéro que j'ai de plus au bout de ma paye en est la raison. j'imagine. Je lui fais un léger sourire, histoire de lui montrer que je ne mords pas. J'ai une taille imposante, alors forcément les gens sont plus craintifs devant moi. Je parle pas vraiment non plus lorsque je suis en travail. J'ai peut-être l'air bête, mais je suis efficace et c'est ce qu'on recherche chez un médecin. « téléphone sur la ligne cinq. » Je la remercie d'un mouvement de tête. Le coup de téléphone est mit en attente, parce que je dois finir de compléter mon papier avant. J'y appose ma signature pas réellement lisible et j'examine le numéro de la personne qui m'appelle, alors que mon service s'achève enfin. J'hésite à répondre, après tout je me casse bientôt, mais le numéro m'est foutrement familier. J'arrive simplement pas à y mettre le doigt. Je décroche finalement. « Docteur Rosenbach à l'... » J'ai pas le temps de terminer ma phrase, que le cris d'une petite fillette de cinq ans résonne dans mon oreille. Elle est réellement heureuse que je réponde et je la reconnais dès la première notre de son « PAPAAA ! » bien crié. Juliet a toujours été un ange. Sauf lorsqu'elle mange beaucoup de sucrerie ou qu'elle est foutrement fatiguée. Elle tourne en petit monstre adorable et c'est ce qui fait qu'elle est si difficile à gronder. « Juliet ? comment tu vas princesse ? » Elle rigole de l'autre côté de la ligne et je comprends quel numéro c'est. La mère Fawkes. La grand-mère qui donne du chocolat en quantité énorme malgré les mises en gardes. Alexis doit l'avoir laissée à sa mère. Ça me fait foutrement bizarre comme ça. Je ne sais plus ce que ma femme fait, ce qu'elle fait avec ma fille. Elle me donne des nouvelles lorsque je viens chercher la blondinette miniature, mais c'est tout. C'est notre maximum sans une énième querelle. « grand-maman et moi on a joué au poupées et Dora, elle était ... » Je me plonge plus ou moins dans mes souvenirs, parce qu'elle n'est pas supposée me raconter tout cela au téléphone. Je devrais être avec elle tout le temps. Juliet, c'est le putain de sens de ma vie et je crèverai avant que quelqu'un ne lui fasse du mal. Elle continue à me faire part de sa journée et je ris quelques fois, lorsqu'elle se reprend pour bien dire ses mots. Elle est foutrement intelligente et j'ai l'impression qu'elle grandit trop vite. « tu me manque, bébé. » que je lui dis doucement. C'est sincère et récemment, j'ai l'impression que c'est la seule chose que je lui dis réellement. Elle prend ça pour une invitation et je me sens encore plus mal. Je peux pas la garder ce soir, je termine mon service, emmène mes dossiers chez moi et je continue de bosser. « je peux venir te faire un câlin et aller voir maman et aller chercher une glace ... » Non, mais elle divague, là. Je ne peux pas faire ce genre de chose et croiser sa mère est juste trop en ce moment. On est plus en bons termes, on se parle par nos avocats, brièvement dans une échange de Juliet et parfois au téléphone pour me dire que j'ai des trucs à aller chercher. « c'est l'hiver mon poussin, on peut pas manger de glace. » J'entends à sa voix qu'elle est foutrement déçue. Je voulais pas la vexer et je me sens foutrement mal. Ce n'est pas de sa faute si Alexis et moi, on ne s'entends plus. Je l'aime encore, l'aimerai toujours, d'ailleurs. Mais c'est foutrement trop compliqué. « ce weekend tu viendras avec papa et on en mangera secrètement, d'accord ? On ne le dira pas à maman. » Parce que je sais que le sucre la rend cinglée. Je l'emmène dans un parc et je lui fais utiliser toute son énergie après. Peut-être même aller patiner à Central Park. « promis ? » qu'elle me demande et je souris bêtement au téléphone. « je te le jure, je t'aime. »
Je raccroche le téléphone après un moment, puisqu'il est un peu tard et que Juliet doit aller prendre son bain. Sa grand-mère s'en occupe foutrement bien et mini Rosenbach est toujours heureuse d'y aller. Je ferme mon bureau et je prend mon manteau. Je laisse ma blouse de docteur et je me casse tranquillement. « bonne soirée, Claire. » Elle me le souhaite également et je marche vers les boxs de l'urgence, voir s'ils ont besoin d'aide avant de me casser. Je vois une infirmière que je connais sortir d'un box et j'y jette un coup d'oeil, m'arrêtant subitement en réalisant que c'était ma future ex-femme. « Lexie ? » Je me dirige vers elle, mon premier réflexe étant d'être inquiet pour elle. Après tout, c'est pas notre relation actuelle qui va faire en sorte que je vais me foutre de sa gueule. Jamais. Ce qu'elle me dit me coupe dans mon élan. Elle attend un de mes collègues. Elle ne voulait pas que je m'occupe de ses blessures. Que c'est t-il passé ? Si je ne savais pas que Juliet était avec sa mère, j'aurais été foutrement inquiet. Ça m'énerve, notre relation m'énerve parce que je suis rendu complètement inutile dans sa vie. Je suis bientôt son ex-mari et c'est tout maintenant. « évidemment quand la mère de mon enfant est à l'hôpital, c'est un autre qui doit s'en occuper. À plus, tu diras bonjour à O'Leary de ma part. » Je tourne les talons et me dirige vers la sortie. Je ne pensais pas ce que je venais de dire, mais je l'avais fais. J'ignore pourquoi, mais c'est fait. Je vois passer le premier médecin qui va vers le box et je comprend que ce sera le médecin de ma femme. Je prend son dossier dans les mains. « Andrews, je prend ton box. » Il proteste, mais je ne l'écoute pas. J'ai plus d'expérience que lui. Je fais demi tour et entre de nouveau dans la même pièce que ma femme. Je m'approche d'elle et je sais que Lexie doit pas être ravie, mais c'est l'hôpital et je décide. Je met un gant en latex pour pas infecter sa plaie. « Je pensais pas ce que je viens de dire. Montres. » que je dis en me plaçant devant elle, la forçant à enlever sa main de sa joue, que je puisse examiner l'entaille. |
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| Sujet: Re: ⊱ When you're gone the pieces of my heart are missing you. Mar 17 Jan - 17:08 | |
| Je voulais éviter de revoir mon mari ici. Je n’avais pas envie de me retrouver seule à seule avec parce que les fois où ça arrivait, ça finissait soit en disputes soit en une séance de reproches. Il continuait de me foutre à la gueule l’histoire avec ce Donovan alors qu’au fond, il ne s’est jamais rien passé. Il n’arrive pas à le croire et ça me tue parce que depuis tout ce temps et au cours de ma vie simplement, il a été le seul à partager mon lit et à avoir mon cœur. Il n’y croyait pas et s’obstinait à penser que je l’avais trompé. Et au fond, c’était la même chose avec moi. Je ne pouvais pas me persuader qu’il n’avait pas couché avec cette connasse d’interne. Je lui faisais confiance, ce n’était pas réellement la question. Je pense qu’au fond, les tensions, nos boulots respectifs et le reste ont eu raison de nous et de notre amour. Nos amis, nos familles et aussi notre petite fille s’accordaient tous à nous dire qu’on était encore fait l’un pour l’autre et que nos sentiments étaient les même. C’était sans doute le cas, en tout cas pour moi. J’étais encore amoureuse et je le savais. Mais parfois, je me disais que ça ne devait pas être suffisant sinon ça aurait réussi à le retenir et à améliorer les choses dans notre couple. Des tonnes de questions me traversaient l’esprit. Est-ce que j’avais pris la bonne décision en acceptant de divorcer, est qu’il m’aimait encore, est qu’un jour on se retrouverait, est ce que c’était vraiment lui, l’amour de ma vie. Tant de questions, tant de doutes et tant de réponses en suspend au final. Mon cœur me dit d’aller de l’avant et de parler sincèrement à Dexter en lui disant qu’on pourrait reprendre notre histoire, qu’on pourrait tenter d’arranger les choses pour nous et surtout pour la petite tête blonde qu’on a eu ensemble. Je sais qu’elle en souffre et c’était tout ce que je ne voulais pas. Et pourtant, je n’y arrivais pas. Faire ce pas vers lui pour avouer que non tout n’était pas fini et qu’il me manquait, ça me semblait trop difficile – impossible même. J’avais peur qu’il refuse, qu’il me dise que lui avait réussi à tourner la page simplement puis faire face à mes torts et les admettre, ça n’a jamais été vraiment une chose aisée pour moi. Alors je me contente d’agir comme si ça ne me faisait rien, quand il vient chercher ses affaires ou la petite, je joue la carte de la femme qui arrive à gérer sa vie sans lui, alors que c’est faux et ça me tue de devoir faire semblant.
Dexter se stoppe net sur place en me découvrant dans ce box de soins et ça me rend d’autant plus mal à l’aise. Je ne voulais pas qu’il vienne, que ce soit lui qui me soigne. C’est pour ça que j’ai exigé d’être soignée par un autre médecin mais apparemment le karma a encore du s’en mêler. Il me fixe durant quelques secondes et je ne sais pas si c’est de l’inquiétude ou de la lassitude que je vois dans ses yeux. Ma remarque ne semble pas lui plaire et le ton qu’il emploi rapidement n’en est plus que blessant. Il me dit avec une pointe d’ironie que c’est tout à fait normal de voir la mère de sa fille se faire soigner par un autre type de lui avant de me die qu’il a mieux à faire et surtout pour bien conclure, que je dois saluer Donovan. Ma gorge se serre et j’ai envie de lui balancer dessus le premier truc qui me tombe sur la main. Je lui lance un regard noir avant de fixer devant moi pour ne plus le voir. Ce genre de remarque me fou hors de moi et me pousse à me dire que c’est définitivement fini. Je serre ma mâchoire en me crispant contre ce brancard. Je n’ai jamais couché avec Donovan et ça ne sera pas prêt d’arriver. Mais ça apparemment il ne peut ou ne veut surtout pas le comprendre. Je fixe l’horloge murale, une douleur toujours aussi lancinante dans la joue et la hanche. Je prends une profonde inspiration et la porte du box s’ouvre à nouveau. Dexter entre et mon cœur se met à battre plus rapidement. Il enfile un gant et je le regarde à peine. Ce n’est pas la peine qu’il vienne, il peut partir, aller voir je ne sais qui et ne pas se soucier de moi. De toute façon, je ne vois pas ce que ça changerait. Il a été clair tout à l’heure avec sa remarque plus que déplacée alors que je ne m’étais pas montrée agressive ou un truc du genre. Il revient à ma hauteur, en me disant qu’il ne pensait pas ce qu’il vient de dire et que je dois lui montrer ma plaie. Je le regarde dans les yeux durant quelques secondes alors qu’il se baisse à ma hauteur. Je décolle la petite compresse pour lui exposer ma plaie. « Ce n’est rien...je n’aurais même pas du venir. Je rangeais la chambre de Juliet et je suis tombée, voilà tout. » Que je dis alors qu’il se met à examiner la plaie. Je grimace légèrement parce que c’est foutrement douloureux et ma main droite se crispe contre le rebord du lit. Je le fixe alors qu’il est concentré et qu’il commence à désinfecter ma plaie. Ça pique mais je ne dis rien. Une infirmière entre pour apporter un plateau avec des sortes de pansements dessus et je me sens foutrement gênée. Je ne sais pas si tout le monde sait qu’on est en instance de divorce et je prie pour qu’elle ne reprenne pas la parole en me qualifiant comme sa femme. C’est encore le cas au fond mais que je ne sais pas si on peut encore me désigner en tant que telle devant lui. Elle ressort rapidement et Dexter applique de petites bandelettes contre ma plaie pour la cicatrisation, sûrement. « Je ne voulais pas t’empêcher de me soigner, disons que tu devais avoir mieux à faire que soigner ton…que me soigner ». Je me reprends parce que je n’arrive pas à dire devant lui que je suis son ex-femme. Il se lève alors me faisant dos pour annoter quelques informations dans mon dossier médical. Je passe une main dans ma nuque en prenant une profonde inspiration. « Ma hanche aussi me fait souffrir » Que je dis alors qu’il se retourne vers moi arquant un sourcil. Je remonte alors lentement ma jupe de tailleur en le fixant, la bouche légèrement entrouverte. Mes cuisses se dénudent progressivement et je fais glisser le bas recouvrant ma hanche blessée. Il me fixe et je me suis foutrement gênée. Je sais qu’il va devoir la toucher et je sais aussi que ça inévitablement me faire ressentir des choses. Je baisse mon regard durant quelques secondes en entrouvrant un peu les jambes pour lui permettre d’avoir accès à l’endroit où la douleur se lance. Je passe ma main dans le creux de mes cuisses en le regardant. « C’est là » Que je dis en désignant un point rouge érigé sur ma hanche.
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