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 Percy ☞ fairy tales sucks!

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W. Percy Hamilton
W. Percy Hamilton

▲ Messages : 347
▲ arrivée le : 30/12/2011

Percy ☞ fairy tales sucks! Empty
MessageSujet: Percy ☞ fairy tales sucks!   Percy ☞ fairy tales sucks! EmptyVen 30 Déc - 17:34




Wendy Percy Hamilton
L'imagination vaut bien des voyages et elle coûte moins cher. George William Curtis.



    ▷ âgé(e) de: vingt-quatre ans.
    ▷ né(e) a: New-York .
    ▷ nationalité: Américaine.
    ▷ animal fétiche: le chat.
    ▷ groupe: The C.P is my life.
    ▷ statut: fiancée
    ▷ travail: libraire
    ▷ avatar: Emma Roberts.
 
 



Alors, je me prénomme Amélie, plus connu sous le nom de spicy.frog, microwave, je suis âgée de 20 ans. J'ai choisi Emma Roberts car j'adore la jouer, et je trouve qu'elle convient parfaitement au rôle!. Enfin bon, sinon j'ai connu le forum Hey Smelly Cat grâce à witty.storm et j'en suis heureuse car je pense que ce forum est tout implement divin, je suis une grande fan d'HIMYM et puis je regarde souvent friends sur le cable huhu, d'ailleurs, je pense être présent(e) sur le forum 6 à 7/7J ce qui est plutôt bien, non ? Puis avant de partir, j'ai un petit mot :vous roxez!




Dernière édition par W. Percy Hamilton le Lun 2 Jan - 13:19, édité 2 fois
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W. Percy Hamilton
W. Percy Hamilton

▲ Messages : 347
▲ arrivée le : 30/12/2011

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MessageSujet: Re: Percy ☞ fairy tales sucks!   Percy ☞ fairy tales sucks! EmptyVen 30 Déc - 17:39

il était une fois... toi





Il était une fois...

Non je plaisante, je n'ai rien d'une princesse d'un conte de fées. Mes parents ont beau être fortuné, je n'ai jamais trouvé que l'argent devait faire le bonheur. Quand on contrôle votre vie, c'est loin d'être plaisant. En tout cas sachez que je n'ai rien d'une enfant pourrie gâtée. Je ne crise pas quand je n'ai pas ce que je veux car je me met à la place des gens de la société modeste et je les trouve courageux. Ma mère et mon père me répète que je peux avoir tout ce que je souhaite. A quoi bon? Le bonheur je l'ai perdu. L'unique que j'avais trouvé en lui.

Ca a commencé à l'âge de seize ans. Le lycée. J'étais dans un lycée public, ma mère s'était arrachée les cheveux quand je lui avais dit que je refusais le lycée privé et prestigieux du coin pour être en contact avec les gens normaux. Mon père avait failli s'étouffer avec ses pommes de terres. Il n'avait jamais compris mes choix, mais celui-là, lui passait bien au-dessus de la tête. On ne peut pas dire que je sois un laideron, je me trouve même plutôt mignonne. J'ai hérité des yeux de ma grand-mère maternel que je chérissais énormément. C'est elle qui m'a inculqué la simplicité de la vie. En tout cas, grâce à mon physique je suis devenue une cheerleader. Faire bouger des pompons à longueur de journées ne me plaisait pas tant que ça mais j'avouais que j'adorais danser et rire aux éclats. Pourtant, je n'étais pas considérée comme tout le monde, les garçons me trouvaient mignonnes mais les filles me détestaient. « Ici on n'est pas dans un magazine de mode! Dégage sale bourgeoise! » Je me suis retrouvée par terre dans les chiottes des filles. Je suis restée un instant sans rien dire, regardant le carrelage. Elles riaient de moi, ont cassé le pendentif de ma grand-mère qu'elle m'avait légué avant de mourir. C'était le geste de trop. Je me suis levée et je lui ai donné un coup de poing en pleine mâchoire. Je ne savais pas d'où j'avais trouvé cette force en tout cas on a fini en train de se battre dans les toilettes des filles. Une peste est allée cafté en disant que c'était moi qui avait déclenché la bagarre. Je ne pouvais rien dire, ma ''victime'' était la fille d'un des professeurs très réputés. « Mademoiselle Hamilton, ce que vous avez fait est impardonnable... Vous serez exclue temporairement pendant une semaine. » « Je n'ai fait que me défendre. » « Elle n'a pas pu vous attaquez, cette fille ne ferait pas de mal à une mouche. » J'ai pris mes affaires et j'ai rejoint mon casier pour prendre mes livres. Je me suis regardée dans la petite glace que j'avais installé. J'avais la lèvre qui saignait et j'allais avoir de sacrés hématomes. « Tu t'es prise pour Mohamed Ali? » J'ai croisé son regard dans le miroir, et j'ai senti mon cœur s'arrêter un instant. C'était Corey. On ne pouvait pas dire que c'était le genre de mec à se mettre en avant. Je l'avais vu plusieurs fois au club de photographie en passant à travers la porte, toujours un sourire pour tout le monde. « Je n'ai fait que me défendre. » « Je veux bien le croire. Tiens. » Devant moi il me tendait le pendentif de ma grand-mère, je passa ma main autour du cou, j'avais réellement pensé l'avoir remis. « Il est tombé quand tu allais chez le proviseur, tu devrais voir pour qu'on remette l'attache en état. » Il me sourit avant de partir. C'était ça qu'on appelait un coup de foudre?

Corey et moi ca a été une histoire qui a duré quatre ans. Quatre années où je me suis sentie heureuse. J'allais toujours le voir en cachette, ma mère ne tolérait pas cette relation. Il était fils d'un mécanicien. Sa mère était parti quand il était petit et il vivait avec son frère ainé et son père. Chez Corey je trouvais la personne qui m'apaisait. Pourtant un jour tout à changer. Déjà je me suis réveillée avec des nausées, des maux de tête et je ne pouvais plus rien avaler. J'avais du retard et cela ne pouvait signifier qu'une chose. J'ai préféré voir Corey très vite. J'avais vingt ans, lui vingt-et-un cela allait être compliqué, surtout vis-à-vis de ma famille. En sonnant chez lui, j'ai bien vu son air grave et il m'a juste dit: « Je crois qu'il faut qu'on arrête. » J'avais l'impression de m'être prise une gifle en plein visage. « Comment? » Ma voix commençait à être éreinté par les sanglots. « On arrête. C'est mieux.» « Mais... Corey il faut que je te dise... » « Je t'en pris, vas-t-en. » Il a soupiré ces mots avant de me claquer la porte au nez. J'ai sonné à maintes reprises il ne m'a pas ouvert, j'ai téléphoné il ne m'a pas répondu. J'ai pleuré longuement, je ne l'ai pas revu. Je lui ai envoyé un mot, lui disant que je portais son enfant. Rien. Je ne savais pas pourquoi il avait changé d'avis. En tout cas quand ma mère a appris que j'attendais un enfant, j'ai reçu une gifle. « Comment tu as pu faire ça? » Je n'ai rien répondu, j'avais le regard vide. Tout ce qu'il me restait de Corey c'était cet enfant. Je n'avais rien su de la raison pour laquelle il m'avait laissé, ni pourquoi il était parti de la ville. Et si j'avais su tout aurait changé, car je n'étais pas la raison principale mais elle n'était pas loin de moi... Le jour où je me suis réveillée c'est quand j'ai serré pour la première fois mon fils dans mes bras. Elliot. Une vraie petite merveille avec le même air sombre et espiègle que son père.

On aurait pu croire que ma vie allait être mieux? Quenini. Il y a un an, je suis rentrée un soir chez moi et j'ai vu un homme que je ne connaissais pas. Ma mère avait un grand sourire aux lèvres, comme mon père. Je portais Elliot dans mes bras et ils m'ont dit: « On a quelque chose à t'annoncer. » Ils ont pris un temps avant d'annoncer la sentence terrible: « On te présente Jasper. Ton futur mari. » PAN. J'avais l'impression de m'être fait tiré en plein coeur. C'était quoi cette histoire? Je les regardais tout deux puis cet homme en face qui devait avoir cinq ans de plus que moi. Il me souriait, et moi je me demandais où j'étais. « C'est une plaisanterie? » « Pas du tout. Son père va être un associé de ton père et donc nous devons conclure tout ça. » « Avec un mariage? Nous ne sommes plus au dix-neuvième siècle! Vous ne pouvez pas me forcer? » le regard de ma mère s'est assombri. « C'est comme ça! » Je ne suis pas restée. Je suis partie avec Elliot en appelant ma meilleure amie. Je suis restée au Central Perk toute l'après-midi en sa compagnie à lui raconter. Quand je suis revenue le soir, la bague de fiançailles m'attendait et le lendemain c'était le diner avec les parents de cet;..homme. Cela fait un an que je suis fiancée et je trouve toujours un prétexte pour repousser le mariage bien que ma mère a commencé à tout faire de son côté, n'attendant plus mon feu vert.

Je n'ai rien d'une princesse. Je n'ai pas un prince charmant. Je voudrais juste vivre simplement.
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