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| Sujet: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 10:12 | |
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HENDRIX STORY GREENE citation de l'autre côté du mirroir Alors, je me prénomme Marine, plus connu sous le nom de Haluna, je suis âgée de tuaimeraisbiensavoir. J'ai choisi Rosie Tupper car elle colle plutôt bien à l'image que je me fait de la fille d'Amy Green, la soeur de Rachel. Enfin bon, sinon j'ai connu le forum Hey Smelly Cat grâce à Bazzart et j'en suis heureuse car je pense que ce forum est roxe un max, d'ailleurs, je pense être présente sur le forum 6/7J ce qui est plutôt bien, non ? Puis avant de partir, j'ai un petit mot :je n'ai plus rien à dire mon commandant. | |
Dernière édition par Hendrix Greene le Lun 16 Jan - 13:42, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 10:13 | |
| il était une fois... toi
« Allô Rachel, je vais avoir un bébé, tu y crois ? Moi, je vais devenir maman et c'est carrément super... Bien sur tu as raison, oh mon dieu, mais c'est vrai que je vais prendre des kilos et que je vais être toute bouffi comme toi lorsque tu attendais Ella... C'est horrible. » Comme vous l'avez certainement compris, c'est l'annonce que ma mère Amy à fait a ma future tante pour lui apprendre que j'allais venir au monde d'ici quelques mois. Je dois dire que j'ai été assez surprise quand je l'ai appris, elle avait l'air assez heureuse de ma venue au monde, mais sa silhouette avait l'air de nettement la préoccupée aussi. Ne vous moquez pas, c'est très important pour elle de rester belle et de paraître aussi jeune que possible et la plus grande preuve c'est que même aujourd'hui rien n'a changer. Elle passe même plus de temps que moi dans la salle de bain. Enfin ce petit intermède pour vous dire qui je suis, enfin en partie, parce que je n'ai absolument aucune idée de qui peut-être mon géniteur. Ce n'est pas un drame, mais il arrive que j'imagine à quoi il peut ressembler, si je tiens de lui ou pas. Je ne sais même pas s'il est au courant de mon existence, mais ce n'est pas grave, je vis assez bien avec ça. Donc je suis née à New-York, un trente-et-un octobre et cela à bien fait rire ma mère qui n'arrêtait pas de sortir tout en poussant que j'allais sortir avec trois nez et sept oreilles. Bien entendu c'était la péridurale qui lui faisait cet effet et elle n'a pas arrêter jusqu'à ce que je commence à hurler dans la salle de naissance. C'est après ce moment donc que j'ai commencer à vivre dans ce monde de dingue, avec une mère qui avait des chances pour être sur le podium des personnes les plus fêlées que je n'ai jamais rencontrer.
Je n'avais que six ans quand j'ai réellement pris conscience que je n'étais pas comme les autres enfants, eux n'arrêtaient pas de parler de leur papa alors que moi je ne savais pas vraiment ce que c'était. Pourtant ma mère en avait elle-même un, puisque c'est ainsi qu'elle appelait grand-père Léonard, mais moi il y en avait aucune trace dans ma petite existence. C'est quand l'une de mes camarades de classe à commencer a en parler que j'ai pris compris que j'étais différente. « Moi mon papa, il est pompier... Tout le monde dit que c'est un héro. » J'avais ensuite écouter attentivement tout les autres énoncer ce que leur paternel faisait dans la vie avant que ça ne s'arrête sur moi, le regard des autres me brûlant. « Moi, j'ai pas de papa. » Il y avait eu des ''oh'' des ''ah'' et plein de questions, un nombre incalculable pour savoir pourquoi. Mais comment est-ce que je pouvais répondre à cette question alors qu'avant ça ne m'avait pas vraiment sembler étrange de ne pas avoir une figure paternelle dans ma vie ? Il n'était pas rare que je passe du temps chez ma tante Rachel et son mari Ross, que j'adorais, mais pour moi il était normal de les voir ensemble et ça ne m'avait jamais sembler étrange. Puis quand j'allais chez eux, c'était surtout pour passer du temps avec mes cousins Emma et Mélody. Le reste de la matinée, j'avais ressasser cette question de savoir pourquoi je n'étais pas comme les autres, puis l'heure des mamans était arriver et j'avais couru pour rejoindre ma mère et la questionner. A peine devant moi, j'avais lancer l'offensive. « Maman, pourquoi est-ce que j'ai pas de papa ? » Elle avait arrêter son geste et son regard s'était comme perdu dans le lointain, j'avais eu l'impression que ma question la gênait, mais ça n'avait pas été le cas. « Oh, en fait ma chérie, je ne connais pas le nom de ton papa, mais c'était un gentil garçon. » Mes yeux étaient presque sortie des mes orbites, mais elle n'avait pas sembler s'en rendre compte et m'avait aider à passer mon manteau tout en souriant aux autres mères et aux pères qui étaient venu chercher leur progéniture. Le repas avait été pris comme toujours dans un petit restaurant pas très loin de mon école, c'était notre rituel du midi et cela permettait à ma mère d'aller rejoindre au plus vite son boulot. Elle avait ouvert avec l'aide de mes grands-parents un centre de beauté et remise en forme, ça marchait vraiment bien et elle en avait même ouvert un autre dans un des nombreux quartiers. Une fois de retour à l'école, j'avais éviter mes amis pour aller rejoindre ma maîtresse qui était installer un peu plus loin avec les autres enseignants qui était de surveillance ce jour-là. Près d'elle, j'avais poser la question qui me brûlait les lèvres depuis que j'avais quitter ma mère. « Mademoiselle Hillburry, c'est normal que j'ai pas de papa ? » Elle avait été étonnée de ma question, tout comme les autres autour d'elle, mais contrairement à ma génitrice, elle avait pris le temps de me répondre. « Il y a beaucoup d'enfants qui n'ont pas de père, Hendrix, cela arrive très souvent. Je vais même te dire un secret, moi-même je n'ai jamais connu mon papa. Mais je pense que tu devrais en parler avec ta maman, elle pourra t'en dire plus. » J'avais souri, je m'en rappelle comme-ci cela c'était passer hier et je l'avais remercier avant de prendre la parole. « Elle ne sais pas comment il s'appelle, elle me l'a dit tout à l'heure, mais elle a dit que c'était un gentil garçon alors je pense que c'est le monsieur qui est venu la dernière fois pour réparer la télé... Quand il a quitter la maison, elle a dit qu'il avait été extrêmement gentil avec elle. » Après ce jour, je n'ai pas arrêter de dire que mon père était réparateur de télévision, c'était mieux que de dire que je n'en avais pas.
Puis j'ai grandi et j'ai rapidement compris que je n'étais le fruit d'une histoire d'un soir, d'une beuverie et que je ne connaîtrais certainement jamais celui qui avais participer à ma venu au monde. Je ne m'en portais pas plus mal, j'imaginais un type certainement porter sur la bouteille, ou encore un homme marié qui avait profiter d'une soirée loin de sa femme pour s'amuser un peu en compagnie d'une jolie blonde. Parce que ma mère est une belle femme, personne ne peux dire le contraire, mais sa jugeote n'est pas plus haute d'un trottoir. Alors j'ai grandi dans son monde fantasque, avec ses conseils beauté alors que je n'avais que neuf ans et que ma seule envie était de savoir comment résoudre une division. Puis je devais toujours faire en sorte de ne pas me faire remarquer quand elle amenait un homme à la maison, pour ne pas le faire fuir quand il verrait qu'elle avait une fille de mon âge. Autant dire que notre relation à toujours été étrange et que ça ne changera certainement jamais. Heureusement que je peux compter sur ma famille, sur mes tantes Rachel et Jill, sur mon oncle Ross et sur mes cousines... Sinon je pense que j'aurais tourner complètement dingo comme ma chère maman. Puis il y avait l'homme de la situation, mon grand-père Léonard, un homme stricte et qui attendait toujours le meilleur de ses filles. Bien entendu, tout comme pour ma tante Rachel, il n'a pas apprécier le fait que je naisse hors mariages, mais il a trouver pire qu'il n'y est pas de géniteur dans l'équation. Mais ce n'est pas pour cela qu'il m'a aimer moins ou qu'il m'a fait plus de remarques. C'est de lui que j'ai toujours été le plus proche, j'adorais partir faire de la navigation avec lui, l'écouter parler pendant des heures et autre. Il était le modèle que je n'avais pas. « Il y a une chose que tu dois savoir Drixie, la vie est un bordel pas croyable et pour y survivre il ne faut pas du courage, il faut seulement être intelligent. Ce n'est pas réellement le cas de ta mère, mais heureusement je ne sais par quel miracle, tu as hérité de la mienne. Mais sache que si jamais tu as un problème, je serais toujours là pour toi. » Je l'avais remercier pour ces paroles et j'avais pris la décision de toujours être la meilleure en classe, d'avoir les meilleures et même si pour cela je devais en partie me couper du monde. Bien entendu, je ne voulais pas devenir médecin ou autre, parce que ma passion je l'avais depuis toujours et ça allait devenir mon métier, l'art. Que ce soit le dessin ou la peinture, j'avais vite montrer un intérêt et surtout un certain talent dans ce domaine, étonnant parfois mes professeurs. Je n'avais pas voulu suivre de cours en dehors de ceux de l'école et ça m'avait permise de me perfectionner moi-même. Puis quand j'ai eu quatorze ans, j'ai reçu un magnifique appareil photo pour mon anniversaire, un véritable bonheur et j'ai commencer à mitrailler mon entourage, le paysage qui m'entourait. Cela rendait folle ma mère qui n'arrêtait pas de dire qu'à toujours la prendre en photo, j'allais abîmer l'iris de ses yeux. Comme toujours, j'avais éclater de rire. « Maman, la plupart du temps tu ne regarde même pas l'objectif. » Elle avait alors reprit contenance avant de se détourner. « Ce n'est pas une raison, mes yeux sont très fragiles. » C'était du Amy Green tout cracher.
Puis j'ai commencer à m'intéresser aux garçons et cela à mon plus grand malheur, ça a attirer l'attention de ma mère sur moi. J'ai eu le droit aux cours de maquillage, à la manière de bien choisir mes vêtements puisque mon look devait toujours être irréprochable. Mais le pire je crois bien, c'est quand elle m'a fait un cours sur la sexualité, elle n'y est pas aller par quatre chemins et c'est ce jour-là que je me suis promise d'attendre le plus longtemps possible avant de finir dans le lit de qui que ce soit. Elle m'avait dégoûtée, tout bonnement. Je n'avais pas le loisir d'y penser non plus, mes relations ne duraient jamais assez longtemps pour ne serait-ce que je pense passer le cap avec l'un de mes petits-amis. Le fait d'apprendre à connaître ma mère leur faisait peur, vraiment et très vite tout tombait à l'eau. Je lui en voulait vraiment de me faire ce genre de choses, mais elle n'en avait même pas conscience et au bout de du cinquième, j'ai fini par éviter de le lui présenter. Mais la persévérance est une qualité qu'elle m'a transmise et elle finissait toujours par finir à les rencontrer par hasard. A bout, j'ai été vivre pendant quelques temps chez mon grand-père pour pouvoir me ressourcer et oublier que ma mère n'était qu'une adolescente attardée qui croyait qu'elle aurait vingt-cinq ans jusqu'à la fin de ses jours. Cela m'a fait beaucoup de bien et j'ai pu vraiment me concentrer sur moi-même, mais je l'appelais quand même pour lui rappeler de payer les factures ou de ne pas oublier de changer la litière du chat. C'était les seuls contacts que j'ai eu avec elle pendant plus d'un mois et je me suis senti réellement comme une jeune fille de mon âge pendant cette période bénite. J'ai obtenu mon diplôme avec mention et comme cadeau j'ai demander à ma mère de me trouver un petit appartement pour quand j'irais à l'Université. Elle a accepter avec bonheur, certainement fière de moi pour la première fois de sa vie. Je me suis donc rapidement installée dans un deux pièces tout de même assez spacieux et j'ai commencer mes études en art. Aux yeux de mon grand-père ce n'était pas ce qui allait me donner un boulot pour plus tard, mais ma mère a pris ma défense à ma plus grande surprise. Aujourd'hui, je suis donc étudiante et je pose aussi de temps en temps en tant que modèle pour les élèves de mon université ou pour des catalogues de mode. Beaucoup me disent que je pourrais être mannequin, mais je ne me vois pas entrer dans le monde si étranges de ces personnes. Mes petits extra me permettent d'avoir assez pour vivre. Donc je dois dire que je suis plutôt heureuse de ma vie, même si j'ai une mère pas comme les autres.
Dernière édition par Hendrix Green le Lun 16 Jan - 13:39, édité 11 fois |
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▲ Messages : 82
▲ arrivée le : 14/01/2012
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 10:14 | |
| ROSIE BIENVENUE SUR LE FORUM & bon courage pour ta fiche |
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▲ Messages : 11
▲ arrivée le : 16/01/2012
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 10:15 | |
| Merci beaucoup, Dianna est sublime sur ton avatar. |
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| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 10:29 | |
| Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche |
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▲ Messages : 11
▲ arrivée le : 16/01/2012
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 10:33 | |
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▲ Messages : 347
▲ arrivée le : 30/12/2011
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 11:04 | |
| Bienvenue parmi nous bonne chance pour ta fiche |
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▲ Messages : 113
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 11:45 | |
| Bienvenuuue. J'adore l'avatar. |
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▲ Messages : 36
▲ arrivée le : 14/01/2012
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▲ Messages : 53
▲ arrivée le : 14/01/2012
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 12:38 | |
| Bienvenueee |
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▲ Messages : 11
▲ arrivée le : 16/01/2012
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 12:55 | |
| Merci à tous pour votre accueil. |
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▲ Messages : 92
▲ arrivée le : 13/01/2012
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 14:21 | |
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▲ Messages : 443
▲ arrivée le : 22/12/2011
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 16:32 | |
| Bienvenue parmi nous, je te Teddylide, bon jeu parmi nous (: |
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▲ Messages : 11
▲ arrivée le : 16/01/2012
| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! Lun 16 Jan - 17:29 | |
| Merci de l'accueil, digne fils de Joey.
Merci pour la Teddylation. |
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| Sujet: Re: HENDRIX - Ils ne savent pas qu’on sait qu’ils savent qu’on sait ! | |
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